Euphorie


 

L'euphorie de la porte qui s'ouvre, parfois un sourire et d'autres moment sans une esquisse, c'est une passe et puis c'est tout. Aucun moment de doutes à ce moment là, c'est juste l'envie qui pousse à surtout aller jusqu'au bout. Parfois en binôme ou à plusieurs, selon le coin du globe choisi c'est à s'en mettre plein les yeux ou bien avoir plus de tendresse au prix d'une apparence affranchi par le temps.

Il ne faut pas oublier que c'est pour combler un manque, celui d'un sentiment mammifère, on ne sait pas quoi blâmer lorsque l'envie devient tellement plus fort que la raison, elle-même à l'opposé des principes sociétaire. Les regrets viennent après, c'est toujours ainsi, mais relativiser permet de cicatriser ce qui pourtant existe depuis la nuit des temps. Courtisane des hommes, ce qu'il est si cher de pouvoir se sentir vivant.

J'ai pu comprendre à quel point cet acte ne pouvait pas durer plus que quelques minutes, cela deviendrai impossible que cela dure des heures, l'épuisement avec l'intensité rendrai follement si proche de la folie. À l'instar d'une sucrerie, en abuser délivre dépendance. Pratique interdite par la société alors que cela inspire tellement de biens comme de l'émettre au destinataire.

Un échange de bons procédés ou après tout la seule chose qui dérange n'est pas la morale mais l'imposition inexistence ou encore une fois la pièce de monnaie est reine.

Il ne peut y exister de vrais sentiments, et pourtant bien des fois où il a pu prospérer une idylle aussi improbable soit-elle dans cette farandole d'amour forcé, où l'ombre de la main mise qui plane à chaque instant sur chaque actes passés.

Jack Schreiber

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